Réunion au sommet du cycle vélo du conseil de district pour redéfinir le plan stratégique de santé du district. Semaine de l’image

Des responsables sélectionnés par différents acteurs du secteur de la santé dans la région Grande Région se sont réunis lors d’un atelier pour réfléchir aux moyens de renforcer la coopération au sein de la région.

Lorsque la crise sanitaire a exacerbé l’instabilité du système de santé en France, elle a poussé les organismes et les professionnels à revoir leurs plans d’organisation. Les zones frontalières, en particulier, sont devenues des laboratoires d’expression de l’unité européenne. C’est le cas du Grand Territoire, où des alliances inédites se sont nouées entre la France, l’Allemagne, le Luxembourg et la Belgique.

La crise sanitaire offre alors une belle occasion de s’interroger sur la politique et son rôle. C’est ce qui a poussé les hauts élus de la Grande Région à se réunir le 28 avril à Metz pour faire le point et échanger sur les pistes d’amélioration pour créer une Grande Région « non souveraine et proche des citoyens ». Sur la table notamment : Bruno Théret, président du Comité Economique et Social de la Grande Région (CESGR), Jean Rottner, président de la Région Grand Est et de la Grande Région, Ralf Engel du Département des Sciences et de la Santé de la Rhénanie- Palatinat, Stefano Van der Jeught, secrétaire juridique au Conseil de l’Union européenne, Pascal Boijmans, chef d’équipe à la Commission européenne, Henri Lewalle, chef de l’équipe active « santé » du CESGR, Aurélien Biscaut, secrétaire. Directeur de la Mission Opérationnelle Transfrontalière (MOT), Marc Hastert, Secrétaire Général aux Relations Internationales de la Fédération des Hôpitaux Luxembourgeois.

« Aujourd’hui, on ne peut plus penser uniquement la santé à travers le concept de soin et de protection. Une réorganisation politique doit avoir lieu […] et cette construction future doit être encouragée par nos expériences », déclare Jean Rottner. « Sinon, nous serons toujours confrontés les blocages que nous connaissons, mais là n’est pas la question de cette conférence générale, même s’il est bon de l’expliquer.

Un secteur très réglementé

Un secteur très réglementé

Commencer à se souvenir. Selon Pascal Boijmans, « la crise a mis en évidence la fragmentation des pratiques de santé transfrontalières », une affaire qui a débuté ses premiers travaux en 1998, avec la décision de Kholl et Decker, du nom de deux personnes impliquées dans un différend sur la restauration médicale. frais médicaux. Le service de santé est en effet très organisé et ne permet pas une adaptation immédiate aux différentes situations. « Nous avons un besoin urgent de services d’urgence », a déclaré le chef de projet. Notamment d’un traitement médical à l’étranger, avec l’aide de l’aide médicale, qui est régie par un système de licence, fourni par les caisses d’assurance maladie. Voir l’article : La santé mentale prise en compte. En revanche, les soins d’urgence sont dispensés lors d’un court séjour dans un État membre de l’UE, au Royaume-Uni ou en Suisse couverts par la carte européenne d’assurance maladie (CEAM) et ne nécessitent pas d’autorisation. L’outil doit être rendu plus souple, notent la majorité des intervenants. « Malheureusement, la Cour ne se prononce pas sur le fond de l’affaire », rappelle Stefanan Van der Jeught. C’est donc tout un processus qu’il faut explorer. « Un traitement de haute qualité ne doit pas être limité », estime Ralf Engel, qui a rappelé que pendant l’épidémie « cet objectif pouvait être atteint ».

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Harmonisation

Harmonisation

Dans le même temps, le manque de données équilibrées et comparables, ainsi que la diversité des pratiques dans le système de santé, freinent l’amélioration du franchissement de la ligne pour fournir des services communs. La crise du Covid l’a confirmé. Les hôpitaux des différentes bases de la Grande Région ont su négocier des solutions à un nombre croissant de patients et de gestion de l’ensemble de la crise, en fonction de leur expertise. Sur le même sujet : Santé : la démarche d’Emmanuel Macron pour renforcer la défense. La solution la plus simple et la plus efficace semble désormais être la création d’un lieu d’échanges et de communication, un plan « donné dans l’annonce C 450 pour 2020 annoncée par le Conseil de l’Europe », précise Ralf Engel. Le partage des données permettrait la création d’un document transfrontalier privilégié par chaque région, comme Luxlorsan, un programme franco-belge d’intégration de la santé.

Un autre point sur lequel prier : la formation. Les formations et les diplômes varient d’un pays à l’autre, ce qui peut être un obstacle dans certains cas. Pour un meilleur partenariat, « des pourparlers sont en cours avec le Luxembourg côté français », assure Jean Rottner.

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Impliquer les différents partenaires

Enfin, les structures intermédiaires (GECT, observatoires, réseau, etc.) jouent un rôle important dans l’intégration et le renforcement des organisations. Une idée que le problème manifeste. Les hôpitaux, aux premières heures du virus, étaient malvoyants et ne disposaient que de leur propre centre de données exploité par des agences régionales de santé (ARS), des organismes publics et privés qui devaient travailler ensemble pour recevoir des patients, différents gouvernements ont autorisé le groupe. injection…

Autant de façons de mener à la sortie de l’Europe pour la santé. Maintenant que les idées sont en place, nous devons nous croiser les bras et commencer les activités. Pour ce faire, le District Centre a déjà annoncé le déblocage de 13 millions de dollars via le fonds FEDER pour améliorer l’accès transfrontalier aux services de santé et de télévision à la carte, la surveillance des établissements, l’intégration des services hospitaliers et la formation des compétences et du personnel. .