Considérant l’importance du PQR pour la démocratie et la vie locale, le rapport recommande d’encourager la création de commerces de détail dans les zones « blanches » et d’inclure l’abonnement au journal dans le pass culturel. © Martin Bureau/AFP

Différents types d’entreprises Le PQR réunit tout le territoire français et s’est progressivement constitué en monopoles. Ses 51 titres sont disponibles dans 91 langues locales. Son modèle économique repose sur : la vente de journaux représente 68 % des revenus des huit groupes de PQR ; publicité (24%); contrastent (5%) avec d’autres titres qui créent un système d’événements de grande envergure qui consolident les bases de leur économie. De plus, des marques de vin en ligne à grande échelle sont apparues ces dernières années, comme Marsactu dans les Bouches-du-Rhône. Leur comportement économique reste incertain. Entre 2010 et 2021, la diffusion des journaux du PQR a chuté de 37 %, et celle du PQN (quotidien national) de 75 %. Mais le PQR est en retard sur le PQN en termes de numérisation malgré les derniers efforts. En 2021, les ventes de copies numériques représentaient 13 % des revenus de PQR et 61 % de ceux de PQN. Un secteur fatigué Le PQR a subi trois chocs ces dernières années : la montée en puissance des plateformes numériques qui ont compliqué ses revenus et ses calculs. Le modèle économique du journal repose sur l’équilibre entre les ventes et la publicité, deux ressources menacées. Les méthodes de marketing traditionnelles souffrent et les revenus publicitaires ont été divisés par deux depuis 2006 et par deux depuis 2012 en raison de la concurrence des entreprises du numérique ; une forte hausse des coûts de production. L’économie de l’imprimerie repose sur des coûts fixes élevés. Face à une baisse lente et régulière du marché, ces prix augmentent rapidement. Le PQR devrait adapter son outil industriel qui se dessine avec la mise en œuvre du plan 2020-2025 visant à améliorer les services d’impression. De plus, le prix du papier a explosé à partir de début 2021, entraînant des surcoûts ; La pandémie de Covid-19 a encore réduit les ventes. Promouvoir le changement du PQR Le PQR doit tout : sauver le marché « papier » où de nombreux lecteurs sont liés mais dont les coûts de production et de distribution augmentent ; investir davantage dans le numérique pour répondre aux nouvelles attentes de sa lecture, ce qui nécessite de lourds investissements. Considérant l’importance du PQR pour la démocratie et la vie locale, il devrait être soutenu par le Gouvernement dans sa transformation. Le rapport recommande : d’accélérer la transformation numérique du PQR en renforçant le soutien du Fonds Stratégique de Développement de la Presse (FSDP) ; encourager la création de zones commerciales dans les zones « blanches » et inclure les abonnements Pass Culture aux médias ; pour couvrir l’augmentation des coûts de production des marques en difficulté et pour reconstruire l’industrie papetière du pays grâce au programme français Relance.

Des modèles économiques variés

Des modèles économiques variés

Le PQR couvre l’ensemble du territoire français et se constitue progressivement en monopoles. Ses 51 titres sont disponibles dans 91 langues locales. Son modèle économique repose sur :

la vente de journaux représente 68% des revenus des huit groupes de PQR ;

publicité (24%);

Un secteur fragilisé

Un secteur fragilisé

contrastent (5%) avec d’autres titres qui créent un système d’événements de grande envergure qui consolident les bases de leur économie.

De plus, des marques de vin en ligne à grande échelle sont apparues ces dernières années, comme Marsactu dans les Bouches-du-Rhône. Leur comportement économique reste incertain.

Favoriser la mutation de la PQR

Entre 2010 et 2021, la diffusion des journaux du PQR a chuté de 37 %, et celle du PQN (quotidien national) de 75 %. Mais le PQR est en retard sur le PQN en termes de numérisation malgré les derniers efforts. En 2021, les ventes de copies numériques représentaient 13 % des revenus de PQR et 61 % de ceux de PQN.

Le PQR couvre l’ensemble du territoire français et se constitue progressivement en monopoles. Ses 51 titres sont disponibles dans 91 langues locales. Son modèle économique repose sur :

Quel est le quotidien régional le plus vendu en France ?

De plus, des marques de vin en ligne à grande échelle sont apparues ces dernières années, comme Marsactu dans les Bouches-du-Rhône. Leur comportement économique reste incertain.Entre 2010 et 2021, la diffusion des journaux du PQR a chuté de 37 %, et celle du PQN (quotidien national) de 75 %. Mais le PQR est en retard sur le PQN en termes de numérisation malgré les derniers efforts. En 2021, les ventes de copies numériques représentaient 13 % des revenus de PQR et 61 % de ceux de PQN.Le PQR a subi trois chocs ces dernières années :
l’essor des plateformes numériques qui ont compliqué son revenu et son calcul. Le modèle économique du journal repose sur l’équilibre entre les ventes et la publicité, deux ressources menacées. Les méthodes de marketing traditionnelles souffrent et les revenus publicitaires ont été divisés par deux depuis 2006 et par deux depuis 2012 en raison de la concurrence des entreprises du numérique ;une forte hausse des coûts de production. L’économie de l’imprimerie repose sur des coûts fixes élevés. Face à une baisse lente et régulière du marché, ces prix augmentent rapidement. Le PQR doit transférer son outil industriel qui se développe avec la mise en œuvre du programme 2020-2025 d’amélioration des services d’impression. De plus, le prix du papier a explosé depuis le début de 2021, entraînant plus de coûts ;La pandémie de Covid-19 a encore réduit les ventes.
Le PQR a subi trois chocs ces dernières années :Le PQR doit tous :
sauver le marché « papier » où beaucoup de lecteurs sont liés mais dont les coûts de production et de distribution augmentent ;investir davantage dans le numérique pour répondre aux nouvelles attentes de sa lecture, ce qui nécessite de lourds investissements.Considérant l’importance du PQR pour la démocratie et la vie locale, il devrait être soutenu par le Gouvernement dans sa transformation. Une déclaration de motivation :
accélérer la transformation numérique du PQR en renforçant le soutien du Fonds Stratégique de Développement de la Presse (FSDP) ;encourager la création de zones commerciales dans les zones « blanches » et inclure les abonnements Pass Culture aux médias ;

pour couvrir l’augmentation des coûts de production des marques en difficulté et pour reconstruire l’industrie papetière du pays grâce au programme français Relance.

Quels sont les journaux les plus lus en France ?

Considérant l’importance du PQR pour la démocratie et la vie locale, il devrait être soutenu par le Gouvernement dans sa transformation. Une déclaration de motivation :

Qui est à la tête du journal Le Monde ?

Radio : L’orientation politique des auditeurs de France Inter est à gauche, tandis que celle des auditeurs de RTL, Europe 1 et BFM Business est à droite.

Rang

Qui est propriétaire de Télérama ?

Titre

Qui a créé le premier journal ?

Radio française payante

Quel est le nom du premier journal français ?

1

Ouest de la France

Qui crée le premier journal en France ?

629 215

Quel est le nom du premier journal ?

2

Qu’est-ce que la presse locale ?

Sud Ouest

210 586

Quelle est la définition de la presse ?

3

Quels sont les différents types de presse ?

La voix du Nord

  • 193 052
  • 4
  • Le Parisien
  • 182 291
  • Quelle est la presse quotidienne gratuite la plus diffusée en France ? Metro : Edité par Metro France, Metro est le plus grand quotidien gratuit publié en France (18 février 2002, 340 000 exemplaires). Metro France est détenue à 65,7 % par Metro International et à 34,3 % par TF1 depuis septembre 2003.
  • « Le Figaro » reste le quotidien le plus lu en France fin 2020, devant « Le Parisien » et « Ouest France », indique un sondage publié jeudi.

Pourquoi utiliser la presse locale ?

Le journal, qui bénéficie de l’aide de journalistes, est édité par le groupe Le Monde, à 75 % en 2021 par la société indépendante Le Monde, dont les propriétaires sont Xavier Niel, Madison Cox, Matthieu Pigasse, Daniel Kretinsky et le groupe Prisa.