Pour cette émission spéciale « Océans », FUTUREMAG nous emmène au musée océanographique de Monaco. Au cœur de ce décor prestigieux, qui s’attache à mieux faire connaitre les richesses du monde marin, Raphaël Hitier est accompagné tout au long de l’émission de Christian Buchet, chercheur spécialiste de la mer. 

CONCOURS – Gagnez 3 places pour le Musée

Dans le cadre d’une opération spéciale, FUTUREMAG vous fait gagner 3 places pour le Musée océanographique. Ceci pourrez vous intéresser : « Le mobilier 3D tient la promesse d’une production hyperlocale », Sylvain Charpiot. Rendez-vous sur Facebook et Twitter vendredi 2 mai !

HOMME – Un donneur de sang universel, venu des mers

Toute vie sur Terre trouve ses origines dans la mer. Si bien que l’on pourrait même transfuser aux humains du sang… marin. C’est la découverte incroyable du Docteur Franck Zal, fondateur d’Hémarina une entreprise de biotechnique marine basée à Morlaix. A voir aussi : ECF, une ferme urbaine à Berlin. Il a créé du sang artificiel compatible avec tous les groupes sanguins, conçu à partir de l’hémoglobine de simples vers marins ! Aussi étrange que cela puisse paraître, l’hémoglobine de ces vers pourrait soigner des millions de personnes, car son pouvoir oxygénant est cinquante fois plus important que le nôtre. Nous assisterons à une greffe qui utilise ce sang artificiel, à l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris.

TERRE – Un plastique d’algues 100 % biodégradable

C’est bien connu, le plastique est l’un des ennemis les plus redoutables des océans. Sauf si ce plastique était constitué… d’algues. Rémy Lucas est un ingénieur breton passionné par le potentiel des algues. Grâce à elles, il a trouvé la solution pour produire un substitut écologique et naturel au plastique, baptisé « Algopack ». C’est le premier plastique composé à 100% d’algues et donc 100 % biodégradable qui exclut tout emploi de dérivé du pétrole dans sa composition. Visite de l’usine Algopack à Saint-Malo, où Rémy Lucas nous livre secrets de fabrication.

OBJETS – Une caméra qui sonde les fonds marins

Pour pouvoir innover dans les Océans, encore faut-il les comprendre. Focus donc sur les toutes dernières caméras sous-marines inventorier les fonds marins de la planète pour mieux les protéger. C’est le défi fou de Richard Vevers, océanographe vivant à Sydney en Australie. Pour se rendre compte de l’impact du réchauffement climatique dans les océans, il a mis au point une caméra hi-tech qui filme les fonds marins à 360° et à grande vitesse, pour alimenter une gigantesque base de données, universelle et gratuite. Des données précieuses qui serviront à mieux connaître et protéger la vie marine.