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Face aux « trois chocs » de ces derniers mois, l’État prend, à contre-courant des enjeux démocratiques et des contributions à la vie locale, la question de la transformation de la presse régionale française.

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Aujourd’hui à 12h30

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| mis à jour aujourd’hui à 18h58

Accélérer encore la modernisation et le développement numérique

Accélérer encore la modernisation et le développement numérique

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Elargir le Pass culture à la presse « papier »

Il s’agit en fait d’une photo du quotidien (PQR), où vous avez le journal, qui a été soumis à l’examen mercredi matin par la commission sénatoriale de la culture, de l’éducation et de la communication. Un rapport rappelant le poids du PQR en France avec ses 43 millions de lecteurs mensuels (soit 2/3 de la population), ses 51 noms et 5 700 auteurs, ainsi que les urgences économiques et sociales qui lui font face.

« Elle a subi ces dernières années un triple choc, indique le rapport mené par les sénateurs centristes Michel Laugier et Laurent Lafon : le tarissement de ses ressources et de son lectorat à travers les médias numériques ; l’accélération de ses dommages-intérêts pour cause de maladie ; et l’augmentation spectaculaire des coûts de production, en particulier la hausse du coût du papier ».

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Qui sont les grands patrons des médias ?

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  • Les deux camps ont amené les législateurs à se saisir de la question car selon eux, il y a « une nécessité pour le Gouvernement d’accompagner le parti dans son changement, sans faire évoluer les médias pour redéfinir leurs métiers ». Un document de 42 pages qui incite les annonceurs à accélérer la modernisation et le développement des technologies publicitaires tout en maintenant les documents existants, notamment l’offre « papier », continuent de représenter une part importante des revenus de PQR.
  • « En raison de son importance pour la démocratie et la vie citoyenne, ce groupe doit être soutenu dans sa nécessaire transformation », a souligné le sénateur Michel Laugier dans son rapport qui comprend huit recommandations solides. Parmi eux, on note, entre autres, l’investissement dans la reconstruction d’une entreprise papetière française indépendante à travers le dispositif français Relance.

De la même manière, l’Etat préconise l’intégration des frais de vente et d’impression des documents papier dans le Pass Culture. Autre sujet sensible : la France entend priver l’Union européenne de la possibilité pour le PQR de continuer à verser sa contribution financière à la réutilisation des documents (dont l’organisme environnemental CITEO qui est chargé de la collecte dans le pays) dans le système publicitaire i . annoncé sur ses différentes annonces pour un total de 21,7 millions d’euros.

Qui est à la tête des médias ?

Parallèlement, le Business Act a pu être amendé pour faciliter l’implantation de journaux dans les zones dites « blanches » et l’aide publique du Fonds stratégique a été portée de 60 à 70 % pour les projets de transformation numérique. Les noms les plus durs pourraient également être plus fortement soutenus en 2023 pour faire face à la hausse de leurs coûts de production.

Qui sont les milliardaires qui dirigent le monde ?

Michel Laugier : « la situation est devenue problématique »

Comment est financé le Canard enchaîné ?

A l’issue de la réunion de la commission sénatoriale mercredi, le rapport parlementaire de Michel Laugier disait qu’il « espérait ». Non seulement tous les membres ont accepté les huit recommandations, mais aussi du fait de cette mission d’information où il rapporte en appui à la revitalisation du quotidien régional, elle permet de mesurer pleinement le niveau d’urgence auquel sont confrontés les journaux. « La situation devient assez compliquée. Le prix des billets a doublé en six mois ; le coût de l’énergie, le coût de l’encre et le coût du carburant pour transporter les journaux ont augmenté. Et ces augmentations ne peuvent pas être répercutées sur le prix de vente des journaux », a déclaré le sénateur de l’UC des Yvelines, qui rend également compte du budget. « Au-delà de la question urgente de la baisse des prix, il y a aussi le risque de disparition de certains journaux locaux. Des études ont montré qu’aux États-Unis : chaque disparition a un impact sur les élections », déplore Michel Lauzier. « La radiodiffusion régionale est la manifestation de plusieurs; Les médias locaux ne traitent pas l’information de la même manière », a-t-il souligné. Son rapport sera publié dans les prochains jours, ce qui permettra d’apporter les modifications nécessaires à la loi le moment venu. « Le gouvernement sera saisi , nous attendons que les choses soient faites désormais », a décidé le parlement.

Dans le monde francophone

Pourquoi un journal est un canard ?

Robert Hersant (1920-1996) : imprimeur national (Le Figaro), magazine…

Qui a créé le Canard enchaîné ?

Michel Hommell (1944-) : imprimerie de loisir, automobile, sport…

Qui subventionne les journaux ?

Jean-Luc (1928-2003) et Arnaud Lagardère (1961-) : radio (Europe 1), télévision

Bernard Arnault (1949-) : Les Echos, Le Parisien, Aujourd’hui en France…

Quels sont les journaux subventionnés par l’État ?

A qui appartient le journal français ?

Qui finance les journaux ?

Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, Pierre Bergé, Patrick Drahi, François Pinault, Matthieu Pigasse et Lagardère, font partie des dix milliards de propriétaires de nos médias.

Quand et dans quel but a été fondé le journal Libération ?

Le fondateur d’Amazon Jeff Bezos, qui a vu sa fortune grimper à près de 19 milliards de dollars l’an dernier, reste dans le classement, une place acquise en 2018. Bill Gates reste le deuxième. Il suit Warren Buffett.

Chaque année, une «réserve» de revenus est constituée pour assurer l’indépendance financière. Ces réserves, qui sont trois fois le montant du revenu annuel, sont placées dans un compte impayé ; la réserve totale pour 2016 est d’environ cent millions d’euros.

Qu’est-ce que le mouvement Libération-Sud ?

Comment lire le canard sélectionné gratuitement? L’application est téléchargeable gratuitement, il suffit de saisir « Le Canard enchaîné » dans le moteur de recherche de l’App Store ou de Google Play. Une fois installée sur votre téléphone portable et/ou tablette, l’application s’affichera sur votre appareil.

Quand a été créé libération ?

Les mensonges répandus par les journaux secondaires sont appelés « canards ». Le début est probablement une vieille phrase française : « bailler un canard à demi », qui signifie donner un demi-canard, en d’autres termes, non, dans un mot trompeur.