Avec l’arrivée de l’automne et du froid, il est probable que les Français ressentiront de plus en plus concrètement les conséquences de la crise énergétique. Quels gestes du quotidien permettent réellement de réduire sa facture énergétique ? Comment savoir si vos contrats de gaz et d’électricité sont les bons ? Franceinfo répond aux questions les plus fréquentes sur les économies d’énergie, les contrats et les mesures d’accompagnement en cours.

Que voulez-vous savoir sur les économies d’énergie ?

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La consommation et les économies d’énergie

Le premier réflexe est d’éviter de surchauffer la maison. Le Médiateur de l’énergie et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) recommandent une température de 19 °C dans les pièces à vivre (salon, salle à manger…) et d’environ 16 °C à 17 °C dans les chambres. Dans la salle de bain, le thermomètre peut varier de 17 °C à 22 °C lors de son utilisation. Pensez à réduire le chauffage dans les pièces qui ne sont pas occupées toute la journée, ajoute le fournisseur Engie. Pendant la nuit ou en cas d’absence pendant la journée, vous pouvez également réduire la température dans les pièces à vivre à 16°C. Pour éviter de gaspiller de l’énergie et préserver votre confort, il existe des solutions de programmation (vannes thermostatiques ou thermostats connectés par exemple), rappelle Engie. Ces solutions permettent d’éviter le chauffage inutile des pièces vides et de redémarrer le chauffage en prévision du retour à domicile. Enfin, ne négligez pas l’entretien annuel de votre chaudière : un équipement en maintenance consomme 10 % d’énergie en moins, selon le Défenseur de l’énergie.

Le chauffage est le premier poste de consommation d’énergie des ménages, selon le médiateur de l’énergie. Baisser le thermostat permet donc de réduire la facture : réduire le chauffage de 1°C, c’est consommer 7% d’énergie en moins, toujours selon le Médiateur de l’énergie.

En cas d’absence de plusieurs jours, le guide de l’Ademe « Chauffer mieux et moins cher » (lien PDF) conseille en effet d’éteindre le ballon d’eau chaude pour éviter qu’il ne tourne inutilement. Un chauffe-eau à accumulation, aussi appelé cumulus, stocke plusieurs litres d’eau chaude à une température comprise entre 55°C et 65°C, ce qui entraîne une consommation d’énergie continue pendant votre absence », souligne ce site affilié à EDF. En revanche, il n’est pas nécessaire d’éteindre le chauffe-eau pendant de courtes périodes, la nuit ou lorsque vous vous absentez pendant la journée. En effet, « maintenir l’eau à une certaine température nécessite moins d’énergie que chauffer de l’eau froide », souligne le site tout compris L’Energie, lié à TotalEnergies. Ainsi, éteindre un chauffe-eau et le rallumer quelques heures plus tard peut être énergivore. Pour réduire votre facture d’énergie sans éteindre le chauffe-eau, il est toutefois possible de le programmer pour qu’il fonctionne uniquement pendant les heures creuses.

Le chauffage est l’équipement qui consomme le plus d’électricité. Selon les données de l’Ademe, la consommation moyenne de chauffage électrique d’un logement est de 4 312 kWh par an, pour un coût approximatif de 733 euros par an. Dans un appartement, le chauffage électrique consomme 1 719 kWh par an, soit 292 euros de charges. Le chauffe-eau consomme aussi de l’énergie : un ballon électrique de 200 litres consomme en moyenne 1 676 kWh chaque année. Si l’un de ces équipements est ancien, le remplacer par des modèles récents, moins consommateurs, permet d’économiser une centaine d’euros par an, selon l’Ademe.

La cuisine regorge également d’équipements énergivores. Le réfrigérateur combiné à un congélateur consomme 346 kWh tout au long de l’année, contre 192 kWh pour le lave-vaisselle, 159 kWh pour la plaque vitrocéramique et 146 kWh pour le four électrique. De petits gestes peuvent cependant permettre d’économiser de l’électricité, comme mettre un couvercle sur la marmite d’eau bouillante ou cuire plusieurs plats au four en même temps, suggère le ministère de l’Économie.

Enfin, le sèche-linge et le lave-linge font également partie des équipements qui consomment le plus d’énergie. Ils consomment respectivement 300 kWh et 100 kWh en moyenne chaque année. Pour faire des économies, optez si possible pour des modèles aux bonnes performances énergétiques : un sèche-linge de classe A+++ consomme presque trois fois moins qu’un appareil de classe B. Il privilégie également les programmes « éco » et les lavages à basse température.

Selon l’Ademe, utiliser un modèle de lave-vaisselle plus récent peut être plus économe en eau que de faire la vaisselle à la main. Or, 80 % de l’énergie consommée par un lave-vaisselle sert à chauffer l’eau. Moins l’équipement utilise d’eau, moins il consomme d’énergie. Pour que cette solution soit vraiment économique, il faut attendre que le lave-vaisselle soit plein pour le démarrer, souligne l’Ademe dans sa fiche conseil pour « baisser la facture d’électricité » (lien PDF). L’entretien périodique de l’appareil est également indispensable (nettoyage du filtre, taux de sel, etc.). Retirez les miettes et les restes de nourriture des assiettes et des plats avant de les mettre au lave-vaisselle, mais ne les rincez pas à l’eau. Enfin, faites fonctionner le lave-vaisselle pendant les heures creuses si vous bénéficiez de cette option dans votre contrat d’électricité.

« 15 à 50 appareils par foyer restent en veille », selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie. Il est conseillé d’éteindre complètement les équipements audiovisuels et informatiques (télévision, console vidéo, matériel hi-fi, etc.) lorsqu’ils ne sont pas utilisés, ainsi que les petits appareils de cuisine (cafetière, grille-pain, etc.). . Energy Defender recommande d’utiliser des barrettes d’alimentation avec des interrupteurs pour éteindre facilement plusieurs appareils. Ce geste permet d’économiser jusqu’à 10% sur la facture d’électricité (sans chauffage). Évitez toutefois de débrancher votre lave-linge ou votre lave-vaisselle, dont les veilles sont « souvent utilisées pour détecter les fuites », prévient l’Ademe.

L’Ademe recommande d’éteindre la box Internet lorsqu’elle n’est pas utilisée. Dans son étude Panel Elecdom de mars 2021 (lien PDF), l’agence estimait qu’une box consommait en moyenne 97 kWh par an. Presque autant qu’une console de jeu vidéo ou un ordinateur de bureau. Se basant sur la consommation électrique d’un panel de 100 foyers, l’Ademe rappelle également que la durée moyenne de fonctionnement de ces box est de 21h55 par jour. Un chiffre « extrêmement élevé », qui montre que les ménages ont tendance à laisser leurs box allumées « inutilement ».

Les pics de consommation d’électricité se situent généralement le matin, entre 8h et 13h, puis en fin de journée, entre 18h et 20h, selon la plateforme Ecowatt. Cet outil, développé par le gestionnaire de réseau électrique (RTE), fournit également un « bulletin météo » du niveau d’électricité disponible dans le pays à l’aide d’un code couleur : vert en période de « consommation normale », orange en cas de « système électrique ». « . tendue » et rouge lorsque le système est « très tendu ». En cas d’éventuelles tensions sur le réseau électrique cet hiver, une alerte rouge sera émise via l’application Ecowatt. Il est également possible de souscrire à la « veille alerte de coupure » pour recevoir une notification par e-mail ou SMS.

Les contrats et les fournisseurs d’énergie

Tant pour l’électricité que pour le gaz, il existe deux grands types d’offres : celles basées sur des tarifs réglementés par l’État et celles dont les tarifs dépendent du marché de l’énergie.

Les offres de marché proposent une énergie plus ou moins chère selon le prix coté sur le marché du gaz ou de l’électricité. Ils peuvent prendre plusieurs formes. Il existe des offres au forfait : le fournisseur s’engage à vous vendre l’énergie à un prix qui dépend du marché au moment de la signature du contrat, mais qui ne changera pas pendant sa durée. D’autres offres sur le marché proposent des prix indexés sur le prix de l’électricité ou du gaz. Ils changent généralement tous les mois.

En revanche, les tarifs réglementés sont fixés par l’État. Les électriques sont contrôlées une à deux fois par an. Quant au gaz, ils sont calculés selon une formule qui change chaque année, mais les mêmes prix fluctuent de mois en mois. Seuls les opérateurs historiques, EDF pour l’électricité et Engie pour le gaz, peuvent proposer des tarifs réglementés. Mais de nombreux prestataires alternatifs proposent des offres indexées sur ces tarifs : leurs prix suivent l’évolution des tarifs réglementés, et sont parfois légèrement inférieurs.

Les tarifs réglementés du gaz disparaîtront toutefois le 1er juillet 2023. Il est actuellement impossible de conclure un nouveau contrat à ces tarifs. Et les clients qui en bénéficient encore doivent choisir une nouvelle offre, à prix fixes ou variables, mais nécessairement en fonction du marché (s’ils ne l’ont pas fait, ils basculeront automatiquement sur une offre de marché Engie au 1er juillet).

Si vous ne vous souvenez plus des offres que vous avez chez vous, vous trouverez les informations sur vos factures.

Il existe de nombreux comparateurs de prix, mais un seul émane d’une autorité publique, le Médiateur de l’énergie, organisme indépendant chargé de conseiller les citoyens et de régler les litiges avec les fournisseurs.

Cela conseille de connaître les tarifs, bien sûr, mais aussi de faire attention au type de contrat. Selon le prix de l’électricité et du gaz, les offres de marché peuvent être moins chères que les tarifs réglementés, mais les exposent à plus de risques en évoluant. Des prix fixes sur plusieurs années offrent plus de visibilité, mais seront plus ou moins avantageux selon le prix au moment de la conclusion du contrat.

La hausse des prix change bien sûr la donne. En ce moment, si vous devez changer de contrat, « il faut choisir des tarifs réglementés, ou indexés sur les tarifs réglementés », explique le Médiateur à franceinfo. Les contrats au forfait proposés sont à des prix très élevés. Et les clients qui paient le prix du marché sont ceux qui souffrent le plus de la crise énergétique. L’autorité indépendante explique aussi que le choix s’est fortement réduit : de nombreuses offres, trop impactées par la situation, ne sont plus accessibles aux nouveaux clients.

Avec un contrat ordinaire, vous payez votre énergie au même prix quelle que soit l’heure de la journée. Mais il existe des contrats d’électricité dont les tarifs varient en fonction du moment de votre consommation. Les plus connus sont ceux qui distinguent les heures pleines des heures creuses. Ses abonnés paient plus pour leur électricité pendant les 16 heures pleines, et moins pendant les 8 heures creuses. Celles-ci ne sont pas les mêmes pour tout le monde, mais sont nécessairement réparties entre 17h et 17h ou entre 20h et 8h. Ils sont généralement concentrés la nuit.

Pour que l’offre soit rentable, vous devez consommer une grande partie de votre électricité en heures creuses : au moins un tiers si vous avez choisi le tarif réglementé de l’électricité, estime le Médiateur de l’énergie. Son PDG recommande cette option notamment « aux personnes qui se chauffent à l’électricité et disposent d’un ballon d’eau chaude électrique » mis en place pour fonctionner pendant ces heures creuses. L’organisme propose un simulateur pour savoir si l’option serait rentable pour vous.

D’autres abonnements proposent des prix variables selon d’autres critères, comme l’offre Tempo, qui applique des prix plus bas une grande partie de l’année, mais des prix très élevés les jours de pointe. Les clients sont informés de ces augmentations de prix spécifiques la veille pour le lendemain. Encore une fois, cette offre vous oblige à être très flexible pour faire baisser votre facture.

Changer de fournisseur de gaz ou d’électricité est libre et gratuit. Tout contrat n’engage pas l’utilisateur : même si vous avez choisi une offre qui vous garantit un prix pendant plus d’un an par exemple, il est possible de la modifier avant sa validité.

Pour effectuer ce changement, la seule étape nécessaire est de souscrire à une nouvelle offre. C’est votre nouveau fournisseur qui vous informera de ce qui précède. Energy Defender vous déconseille de résilier vous-même le contrat, car vous risquez de payer des frais de démarrage.

Les aides

Les tarifs réglementés de l’électricité évoluent deux fois par an, les 1er février et 1er août. Le prix du gaz ne change qu’une seule fois, le 1er juillet, bien que le prix payé par le client puisse varier chaque mois et dépende en partie du marché du gaz. Ce tarif est cependant gelé depuis octobre 2021, et les tarifs réglementés disparaîtront au 1er juillet 2023. Les offres indexées sur les tarifs réglementés suivent la même tendance. Votre fournisseur ne vous dit pas nécessairement quand les tarifs réglementés changent. Mais ils sont fixés par des arrêtés ministériels publics, et les médias relayent ces évolutions.

Depuis le début de la crise de l’énergie, plusieurs fournisseurs ont fait savoir à certains de leurs clients que leurs contrats ne seraient plus indexés sur des tarifs réglementés, mais sur des tarifs de marché. C’est donc une possibilité, même si la légalité de la manœuvre est contestée par certaines associations de consommateurs, et qu’elle n’a pas encore été tranchée par les tribunaux. Toutefois, dans ce cas, il est toujours possible de souscrire à une offre indexée auprès d’un autre fournisseur.

Si vous payez un prix fixe, cependant, il ne peut pas changer pendant la durée du contrat. Une fois terminé, cependant, la rénovation proposée n’aura probablement pas le même prix. Enfin, par définition, les prix des contrats de marché varient en fonction des prix de l’énergie : en général, l’électricité ou le gaz est payé à son prix moyen du mois précédent. Les fournisseurs s’appuient sur des indices dont le prix est public et doivent préciser dans le contrat quel indice ils ont choisi.

Dans le contexte actuel de forte hausse des prix, le Médiateur de l’Energie invite les consommateurs, quel que soit leur contrat, à « être très prudents s’ils reçoivent un message de leur fournisseur », qui peut signaler une évolution problématique des tarifs ou des contrats.

Le bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement n’a pas complètement empêché les augmentations. Les prix réglementés du gaz sont gelés depuis octobre 2021 (sans le bouclier ils auraient plus que doublé). Les électriciens ont vu leur augmentation au 1er février 2022 limitée à 4 % en moyenne (contre 35,4 % sans le bouclier). Ces mesures prendront fin en 2023, en janvier pour le gaz et en février pour l’électricité : le gouvernement promet que les hausses de prix seront alors limitées à 15 %.

Les contrats qui ne suivent pas le tarif réglementé ne sont pas concernés par l’ensemble du bouclier tarifaire. Les prix de marché ont fortement augmenté et les nouvelles offres de contrats au forfait sont plus élevées qu’avant la crise. Certaines mesures de bouclier tarifaire concernent cependant l’ensemble des contrats d’électricité : la TICFE, principale taxe sur l’électricité, est pratiquement supprimée (passée de 22,50 euros à 1 euro par MWh) ; et la quantité d’électricité nucléaire à bas coût qu’EDF doit vendre à d’autres fournisseurs a augmenté de 20 %, réduisant les volumes qu’elle doit acheter au plein prix du marché.

De plus, votre facture n’est pas uniquement constituée du prix de revient de l’électricité : elle comprend également un coût d’abonnement qui peut avoir augmenté ces derniers mois.

Le prix de ces deux sources d’énergie n’est pas réglementé et est également soumis à l’inflation. Pour le moment, ils ne sont soumis à aucun bouclier tarifaire.

Début août, le Parlement avait approuvé, à l’initiative de l’opposition, une dotation de 230 millions d’euros pour aider les ménages modestes chauffés au fioul. Le gouvernement travaille toujours sur les conditions de cette aide, indiquait le ministre des Comptes publics, Gabriel Attal, le 15 septembre dernier. Il a cependant évoqué le scénario de subventions de 100 à 200 euros versées en novembre à 1,4 million de foyers, c’est-à-dire la moitié la plus modeste des Français qui se chauffent au fioul.

Elisabeth Borne avait assuré la veille que les foyers chauffés au bois bénéficieront également d’aides en novembre, sans donner plus de détails. Le Premier ministre l’a confirmé le 26 septembre à BFMTV, mais le dispositif n’a pas encore été annoncé.

De plus, les maisons modestes qui se chauffent au fioul ou au bois peuvent également opter pour la maîtrise de l’énergie, au même titre que celles qui se chauffent au gaz ou à l’électricité.

Le gouvernement a annoncé le versement d’un chèque énergie exceptionnel, en plus de celui envoyé chaque année en avril. Il s’adressera aux 40 % de ménages français aux revenus les plus faibles, soit 12 millions de foyers, soit le double du nombre habituel. Son montant sera de 200 euros pour les 20 % de ménages les plus modestes, et de 100 euros pour le reste des bénéficiaires.

Pour le moment, le gouvernement n’a pas précisé quel indicateur serait utilisé pour déterminer qui sont les ménages les plus modestes, ni à quel niveau se situe la limite. On ne sait pas non plus quand les chèques seront envoyés, mais l’exécutif les promet « d’ici la fin de l’année ».

Si vous répondez aux critères, vous recevrez ce chèque énergie sans avoir à le demander. Il peut être utilisé pour payer les factures d’énergie, mais aussi pour l’achat de gasoil ou de bois de chauffage.

Les copropriétés n’ont plus accès aux tarifs réglementés d’électricité et de gaz si leurs besoins dépassent un certain seuil (36 kilovolts-ampères pour l’électricité, 150 000 kilowattheures pour le gaz). Ils sont donc interpellés par la hausse des prix, leurs contrats au forfait ayant été signés avant la fin de la crise. Dans son allocution du 14 septembre, Elisabeth Borne a assuré que les copropriétés seraient protégées par le bouclier tarifaire en 2023, limitant la hausse de leurs factures à 15 %. Mais il n’a pas précisé comment il pourrait s’appliquer à ceux qui n’ont pas droit aux tarifs réglementés.

Quelle est la source d’énergie la moins polluante ?

Sur franceinfo, le 15 septembre, Gabriel Attal évoquait « un engagement de l’Etat à compenser (…) auprès des fournisseurs » la différence entre la facture avec et sans le bouclier tarifaire. Emmanuel Macron, dans une interview à BFMTV le 22 septembre, a notamment demandé aux propriétaires sociaux de rejeter les offres exorbitantes des fournisseurs, en attendant une renégociation des prix par l’Etat : « Ne les signez pas aujourd’hui. Aujourd’hui. »

Les entreprises de moins de 10 salariés dont le chiffre d’affaires n’excède pas 2 millions d’euros ont accès aux tarifs réglementés de l’électricité et bénéficient donc du bouclier tarifaire pour cette énergie.

Quelle énergie est la plus polluante ?

D’autres sont éligibles à des subventions dont le gouvernement a annoncé qu’il simplifierait les critères à partir du 1er octobre. Celles-ci sont encore assez complexes, mais sont détaillées sur le site du ministère de l’Economie.

Quelles sont les sources d’énergie les moins polluantes ?

Les PME de 10 salariés ou plus peuvent toucher jusqu’à 2 millions d’euros si leur facture énergétique dépasse 3% de leur chiffre d’affaires, si elle a doublé par rapport à 2021, et si leurs bénéfices ont diminué d’au moins moins d’un mois. Des montants beaucoup plus élevés sont disponibles pour les entreprises dont l’activité est très consommatrice d’énergie.

  • Par ailleurs, Emmanuel Macron, dans un entretien accordé à BFMTV le 22 septembre, a conseillé aux entreprises de rejeter les offres des fournisseurs dans l’attente de propositions plus favorables. « Nous sommes en train de renégocier les prix » à la baisse, a-t-il assuré.
  • Le gaz naturel est actuellement l’énergie fossile la moins polluante, car sa combustion émet principalement de la vapeur d’eau et une faible quantité de CO2. Le gaz naturel génère entre 30 et 50 % moins d’émissions de CO2 que les autres combustibles fossiles.
  • Quelle énergie émet le moins de CO2 ? Les énergies renouvelables sont plus propres que les énergies fossiles. En général, les énergies renouvelables émettent moins de CO2 que les énergies fossiles. Hormis la construction et la maintenance, les énergies renouvelables comme le solaire et l’éolien n’émettent pas de CO2.
  • Le CHARBON est la source d’énergie la plus émettrice de CO2 (1 123 kg par tonne équivalent pétrole), devant le pétrole (830), le gaz naturel (651), le solaire photovoltaïque (316), l’éolien (32) et le nucléaire (19). (Sources : Nations Unies, Ademe, EDF).
  • Electricité : Quelles sont les énergies les moins polluantes ?
  • Énergie solaire.
  • Énergie éolienne.
  • Éolien offshore : le saviez-vous ?

Quelle est la source d’énergie la plus propre ?

L’énergie hydraulique.

Qu’est-ce que l’efficacité énergétique d’un objet technique ?

Hydroélectricité : quel impact ?

Électricité et biomasse.

Quel est l’importance de l’efficacité énergétique ?

énergie géothermique.

Quel est l’efficacité de l’énergie ?

Installer une pompe à chaleur.

Comment améliorer l’énergie ?

Pour Vincent Peillon, « l’énergie la plus propre est le nucléaire »

  • Efficacité énergétique : Relation entre l’énergie utilement récupérée pour garantir les fonctions attendues et la quantité d’énergie utilisée pour faire fonctionner un objet technique. Empreinte carbone : Méthode qui consiste à comptabiliser les quantités de gaz à effet de serre émises.
  • Quelle est l’efficacité énergétique d’une ampoule ? La qualité énergétique d’une lampe s’apprécie par son efficacité lumineuse (en lm/W) définie comme le rapport entre le flux lumineux (en lumens) et la puissance électrique absorbée (en watts).
  • L’augmentation de l’efficacité énergétique des bâtiments améliore non seulement la qualité et le confort de l’air intérieur, mais réduit également les factures d’énergie et favorise l’emploi dans des domaines tels que la construction, l’isolation, les systèmes de chauffage et la réfrigération.
  • L’efficacité énergétique d’un système est le rapport énergétique entre la quantité d’énergie fournie et la quantité d’énergie absorbée. Il y a moins de pertes et une meilleure efficacité énergétique, l’efficacité énergétique est donc liée à la maximisation des performances.
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